Jouhatsu, le mystère d'une légende
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 William T. Fischer, hunter

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William Fischer
Chasseur
William Fischer


Nombre de messages : 4
Date d'inscription : 05/06/2011

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MessageSujet: William T. Fischer, hunter   William T. Fischer, hunter EmptyDim 5 Juin - 13:30

William Fischer
Chasseur


Nom : Fischer, de consonance occidentale, comme lui-même.
Prénom : William Tray… Deux parents déjà en conflit pour le prénom de leur enfant, il avait eu le droit d’en porter deux, pour la peine. Avec le temps, il avait favorisé le prénom « William » pour son prénom courant.
Surnom : Régulièrement, tout à chacun se laissait aller à l’appeler Will, pour plus de facilité. Des surnoms plus personnels, il n’en avait pas le souvenir.
Age et date de naissance : Il fêtera ses vingt-trois piges le 17 septembre.
Sexe et sexualité : En tant qu’homme, il se vante de n’avoir connu que des partenaires féminins tous plus attirants les uns que les autres, il ne faut toutefois prêcher de rien.

Famille : Dernier né d’une famille aisée qui s’était installée au Japon suite à la mutation du père, à l’origine des dissensions dans le couple. Il vivait avec sa mère, Ashley, son père, Harold, son grand frère Shun et l’aînée, Shurley. Depuis, il a quitté le domicile familial pour prendre son envol, trop impatient d’échapper à la tension permanente chez lui.
Métier : A son âge, on peut être bien des choses, étudiant, ouvrier, fonctionnaire, responsable quelconque. Un métier, s’il en a, serait celui de libraire. Ce n’est toutefois qu’une couverture bien pratique pour celui qu’il a vraiment : chasseur de monstre.
Arme : Pour satisfaire à la tradition, une magnifique Winchester, modèle court 92, qu’il a fait graver en mémoire de cette nuit qui a changé sa vie, avec évidemment, sa cargaison de balles en argent, dont une série en particulier étant un vestige, fondue dans la croix de Saint Jean consacrée par l’Eglise, qui se trouvait dans le mémorial du cimetière. Il dispose également des mêmes munitions pour son colt qu’il garde en permanence sur lui, dissimulé sous sa chemise ou son gilet.
Pouvoir : (optionnel, se référer à la fiche de description )[Pas encore en vigueur dans l'histoire]Ne pense pas recourir un jour à cette méthode.

Hobbies : Si il est propriétaire d’une librairie, ce n’est pas pour faire joli, dans l’absolu. En vérité, il adore les livres, porte un intérêt tout particulier au folklore, à l’histoire, aux légendes et mystères, regrettant bien trop souvent de ne pas avoir porté plus de crédit à certaines de ses lectures, de par le passé. De plus, il possède une licence en lettres.
Aime : Les choses qu’il aime sont assez rares. Il va plutôt les tolérer, les ignorer. Rien ne le dérange vraiment, rien ne le rend heureux pour autant. Il n’y a pas spécialement de choses qui le transcendent, hormis sa passion des livres.
Déteste : Il n’apprécie pas pas mal de choses, c’est même à se demander s’il en aime, par moment. Tout peut avoir le don de l’agacer, l’énerver. Principalement, il n’aime pas la prétention et l’arrogance que les autres peuvent afficher. Il n’aime pas le chocolat, ce qui a toujours eu pour conséquence une dispute avec la demoiselle partageant sa vie à chaque fois qu’il en était question. C’est quelque chose qui l’a marqué, du coup. Il déteste également le silence, il faut qu’il y est toujours du bruit, même s’il doit en faire pour cela, la musique peut être une échappatoire, mais ca ne suffit pas toujours.
Compagnon [Animal] : Aucun

Sa plus grande phobie :Les araignées ? C’est peut-être un peu surfait… Il n’a pas spécialement de « grande phobie », des peurs, comme tout le monde, la solitude, l’obscurité… Personne n’aime jamais vraiment… Il est juste comme tout le monde.
Son plus grand désir :Vivre sa vie comme il l’entend.
Son point faible :Il y a peut-être des brèches dans sa carapace. Mais il faut pousser très loin pour trouver la pointe sensible, car très récent, il a enfermé l’incident au plus profond de lui et vit comme si rien ne s’était passé.
Son point fort :Sa vision est un avantage certain dans bien des domaines. Ce n’est pas très courant pour les humains, mais quelques uns ont la chance d’avoir une très bonne vue, et il l’a mis à profit pour chasser.

Physique : William est un jeune homme agréable à regarder. Mince et élancé, il ne culmine pas à des hauteurs exceptionnelles, se contentant allégrement de son mètre soixante quinze. C’est une taille particulièrement adaptée à la gente féminine. Généralement débraillé, ses cheveux blonds en bataille, le haut de ses chemises déboutonné, tout ceci faisait parti d’un style particulièrement travaillé. Il choisissait toujours avec soin ses tenues pour s’adapter avec le temps, le lieu où il se rendait, et le plus dur était souvent de les faire coïncider avec la couleur de ses yeux, qui était un marron clair tirant sur le vert. Il s’en sortait généralement assez bien, s’assurant toujours d’avoir l’air classe en toute circonstance. Pour aider, son oreille gauche était percée, et il portait un anneau d’argent, qui s’accordait parfaitement au crucifix qu’il arborait toujours autour du cou, victime de vieilles superstitions. Il est rare pour les autres de pouvoir en profiter, mais il a pratiqué de nombreux sports depuis son jeune âge, et encore plus depuis qu’il poursuit ses mythes, et dispose d’un corps taillé sur mesure. Même si vêtu, on le croirait frêle, il ne faut surtout pas s’y fier, l’illusion est spectaculaire. Par chance, il ne porte pas beaucoup de cicatrices liées à son emploi, il n’a pas eu à croiser énormément de cibles depuis lors.
Signe particulier : Un tatouage lui couvre les omoplates et une cicatrice lui lassèrent le bras sur la moitié de la longueur.
Mental : Notre ami a eu la chance d’avoir une famille vivant parfaitement de ses moyens, sans excès ni privation. Dernier, il avait été un peu plus choyé que les autres, ce qui avait entraîné un caractère assez dominateur chez l’enfant qu’il était. Capricieux, colérique, exigeant, il n’épargnait personne. Avec l’âge et à force de correction, il avait fini par se calmer. En surface, car il a conservé quelques défauts de son jeune âge, comme l’exigence, ou le manque de patience selon les situations. Malgré son côté emmerdeur, il reste quelqu’un d’enjoué et d’agréable à supporter. Heureusement qu’il a au moins ça pour qu’on lui épargne le jeté de caillou. Il désarmerait n’importe qui d’un simple sourire, qui en dit souvent bien plus que ce qu’il ne s’attendait. C’est quelqu’un de rusé et calculateur, qui fait attention à chaque détail. L’issue de chaque situation peut se jouer à un détail, et le hasard est une variable qui n’a pas sa place lorsque l’on risque sa vie. Cette rigueur est bien la seule qu’il s’impose en toute circonstance, même quand il s’agit que de prendre un café avec son ex. Justement d’ailleurs, situation bien périlleuse. Même si en surface, on détecte rapidement ses défauts, en grattant plus profondément, on découvre quelqu’un d’honnête, droit et loyal. Mais il est bien rare d’arriver jusqu’à cette étape. « Easy come, easy go » L’attachement est une contrainte qu’il tâche d’éviter car elle est la première source de douleur psychique. Il ne le sait que trop bien, et s’en souvient chaque fois que ses doigts effleure la cicatrice sur son bras. En d’autres temps, d’autres lieux, d’autres conditions, il se serait peut-être permis cet écart, mais pour son bien comme celui des autres, il préfère restait seul le plus souvent. Son adaptation sociale est toujours une vaste illusion car même s’il dispose d’un nombre incalculable d’amis pour sortir, faire la fête, passer du bon temps, pas un seul ne pourrait citer son adresse, sa date de naissance, ses origines… Il n’est qu’un fantôme, un nom et un numéro griffonné à la hâte sur un répertoire, noté sur une serviette de bar, enregistré dans un portable.
Autres : Quand le temps est trop long, il grille quelques blondes pour le faire passer plus vite.

Histoire :
Quoi de plus sordide que de choisir un cimetière pour finir la soirée… ? La remise des diplômes avaient été suivi d’une soirée bien arrosée, un gokkon, où tous les étudiants de littérature s’étaient retrouvés pour partager une dernière fois quelque chose entre eux avant de se perdre de vue pour le restant de leur vie, pour beaucoup. William était de la partie, jamais le dernier pour sortir et s’éclater, il appréciait beaucoup ces moments passés avec ses amis. Ils allaient peut-être plus jamais se voir alors… Pour lui, les amis qu’il avait rencontré durant toute cette période scolaire était ce qu’il avait de plus cher.
Arrivé depuis des années dans ce nouveau pays où il avait du s’adapter et apprendre la langue, il s’était demandé s’il parviendrait à s’y faire. Si lui s’y était fait, sa mère n’y parvenait pas. Le mal du pays, lui il avait été finalement trop jeune pour en souffrir. Ses aînés ressentaient souvent une grande nostalgie et parler souvent de retourner dans leur pays d’origine, l’Angleterre. Lui, il avait sa vie ici… Sa mère reprochait sans cesse à son père cette mutation dont il avait lui aussi été victime. Partir à l’autre bout du monde pour son travail, ce n’est souvent pas évident, mais lorsque sa place est en jeu, en général, on accepte… Depuis leur arrivée ici, le climat au sein de la famille s’était durci, régulièrement coupé des disputes. C’était pour cela que William préférait encore le temps qu’il passait avec ses amis. Bien sûr, il avait connu comme tous les jeunes au collège, les gangs et les guerres de territoires. Il avait fait parti de l’un d’eux mais ne s’était jamais embarqué dans des histoires trop louches. Il savait que les plus vieux touchaient à la drogue ou ce genre de chose, mais quelque part, malgré tout, il conservait un minimum de bonne conscience. C’était juste un jeune un peu difficile à canaliser. Cette époque difficile que l’on nomme adolescence se poursuivit jusqu’au lycée. C’est seulement lorsqu’il rentra à l’université qu’il s’assagit, gardant comme vestige de ses années passées le tatouage ornant son dos.
Par rapport à ses frasques d’adolescents, sa vie étudiante était tout de même plus calme. Il était plus posé, plus disponible. Même si il sortait bien trop souvent de l’avis de ses parents. Les soirées dans les bars ou chez les amis vivant seul en ville était assez récurent, suffisamment pour inquiéter sa mère qui songeait déjà à un problème d’alcool ou de drogue. Certes, il savait boire, mais les alcools forts n’avaient jamais vraiment eu d’effet sur lui. Il pouvait descendre bien plus que ce qu’ils étaient en mesure de s’offrir avec leur maigre pension d’étudiant, alors en général, il se contentait de vider les verres qu’on lui offrait en compagnie d’une cigarette. Rien de plus… Pas de quoi s’alarmer. Bien sûr, il n’était pas encore majeur, mais il n’avait pas eu l’éducation stricte de la société nippone. Et ses fréquentations ne faisaient pas forcément parties des meilleures. Beaucoup était majeur, de surcroit. C’était de ces mêmes habitudes qu’ils avaient finis, la soirée dans le bar terminée, parce que le patron les avait mis dehors avant la fermeture, qu’ils avaient finis, quelques uns de ses bons amis et lui, dans le cimetière de la ville, une bouteille récupérée dans un convini pas loin. Si jamais les autorités les choppaient là, ils étaient mal…
Ils étaient cinq, trois garçons et deux filles. Une joyeuse bande bien délurée, qui n’avait pas froid aux yeux et ne se cachait pas pour quoi que ce soit. Les demoiselles étaient vêtues de façon provocante, qui aurait choqué la si frileuse société. Quant aux garçons, ils avaient tous un style bien particulier rappelant une certaine époque de rébellion. Tous passablement éméché, William étant le seul à n’avoir que la tête qui tourne, ils riaient et danser sur les tombes. Ce cimetière datait, les derniers catholiques du siècle dernier y étaient enterrés. Même maintenant, ils pouvaient être incinérés, c’était passé de mode. Ren, que William appelait affectueusement Lila, était la plus ivre du groupe, elle titubait en levant son verre pour fêter ce diplôme qu’elle avait obtenu avec les honneurs. C’était une nuit qu’ils ne seraient pas près d’oublier. Marquant le tournant définitif de leur vie, entrant désormais dans la vie active, ils étaient maintenant des adultes.
Cette nuit de pleine lune qui changea définitivement leur vie.
Cela faisait seulement deux heures qu’ils étaient là quand ils entendirent du bruit autour d’eux. Craignant que des passants aient prévenu la police, ils restèrent en alerte, du moins ceux qui étaient en mesure de le faire. Même si il était un peu embué, Will n’avait pas de problème pour se concentrer sur cette tâche. Les sons s’arrêtèrent, ils se relâchèrent également. Cette angoisse leur avait fait prendre conscience qu’il était temps qu’ils plient bagages, pour ne pas avoir des ennuis. Ils avaient déjà eu de la chance de ne pas en avoir plus tôt. C’est alors qu’ils surgirent de l’ombre. Un groupe, trois peut-être, c’était très flou dans son souvenir car tout s’étaient passé si vite. Des hommes à la longue chevelure qui s’étaient jeté sur ses amis, les mordant à la gorge, de ce qu’il avait pu en voir par cette lumière nocturne. Ren et lui avaient fui, l’instinct de survie leur criait de fuir ces hurlements atroces. Tout en lui le poussait dans la direction opposé. Mais ces êtres effrayants les avaient rattrapés si vite… Face à eux, il était si faible. L’un d’eux s’empara de son ami, lui arrachant un hurlement qui s’imprima à jamais en lui, pour laisser place ensuite à un silence effrayant. Maintenant, lui aussi allait connaître le même sort, pour lui aussi la fin était proche. Même si l’instinct de survie voulait qu’il se batte, quelque chose lui disait qu’il n’avait aucune chance face à cet « homme » qui lui faisait face. Et pourtant. Les autres, trop occupé avec ses amis, il tenta le tout pour le tout. Cette main, gelée, l’avait empoigné par le bras lorsqu’il avait tenté de fuir une dernière fois. Cette force lui avait imposé l’arrêt immédiat. Il avait beau se débattre, son bras maintenu resté immobile. C’est alors qu’un sourire le défigura, sûrement parce que dans les yeux de Will, il avait reconnu ce sentiment qu’il adorait : la peur.
Il ne devait son salut qu’à une chose, la chance. Alors qu’il persistait à s’enfuir, tirant de tout son être sur ce bras qui l’entravait, près à l’abandonner pour sa survie, William fut aveuglé par une lumière intense qui l’entourait. Un automobiliste qui passait venait de s’arrêter, ils étaient plusieurs dans la voiture, comme il réussissait vaguement à se souvenir. Plusieurs voitures étaient arrivées. La rue qui se trouvait en contrebas du cimetière était très fréquentée car elle permettait de rejoindre le centre ville. L’arrivée improbable de ses véhicules avait mis en déroute les attaquants, jugeant le nombre de témoins trop important à éliminer sûrement. Ils s’étaient évaporés aussi rapidement que lors de leur arrivée. La seule chose qui lui restait pour se souvenir que ce n’était pas un rêve, c’était la perte de ses amis, disparus, eux aussi, et cette trace qui lui lacérait le bras, qu’il s’était fait lui-même en tirant désespérément pour se libérer.
Par la suite, il avait mené ses recherches, tout en s’installant à son compte comme libraire, découvrant avec certitude la nature des êtres qui les avaient attaqués. Quelque chose était né en lui, il n’était pas sûr que c’était de la haine, il ne se souvenait pas très bien de cette nuit. Mais il était sûr d’une chose, il ne pouvait pas laisser de tels crimes se produire.


Comment avez vous connu le forum :Par hasard
Que pensez-vous du forum ? Quelque chose à modifier ?Euh… Bah non ^^’
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Alice Moren
Petite Orchidée Pourpre
Alice Moren


Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 28/05/2011

William T. Fischer, hunter Empty
MessageSujet: Re: William T. Fischer, hunter   William T. Fischer, hunter EmptyDim 5 Juin - 14:21

Encore un chasseur! Les rangs vont grossir, c'est Tsukiyo qui va être content!

Eh bien, je ne vois rien qui pourrait t'empêcher d'intégrer les rangs de Jouhatsu! De plus, j'adore ton histoire =3.

Ainsi, je te souhaite la bienvenue sur le forum! Amuse toi bien!

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William T. Fischer, hunter
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